✰ Lakestone de Sarah Rivens
L’obsession a un nom.
Au nom du Père, du Fils… et de mon verre de whisky.
Gros coup de cœur.
J’avais déjà entendu parler des Captives de Sarah Rivens (oui, c’est dans ma PAL, je vais m’y mettre, promis juré), mais c’est Lakestone qu’on m’a offert. “Tiens, 900 pages, t’es tranquille un moment.” Spoiler : je l’ai lu en 2 jours. Oui oui. 900 pages. En deux foutus jours. Est-ce que j’ai aimé ? Non. J’ai adoré.
Iris ? Je me suis grave reconnue en elle. Dans son anxiété, son passé, ses réactions. Puis finalement, au fil des pages, elle gère. C’est pas une drama queen, c’est pas non plus la meuf ultra badass, mais elle est humaine. Ok, elle est parfois un chouïa agaçante, mais rien de rédhibitoire.
Et alors Kai ? Premier dialogue, j’étais foutue. “Je m’appelle Kai, mais tu peux m’appeler ce soir.” Mais OUI. C’est exactement ce qu’on veut comme humour dans les bookboys de maintenant ! J’en suis toujours pas remise. Le personnage est détestable comme adorable. Le contraste entre la terreur et la douceur.
Petit bémol quand même : Les gars, s’embrasser à la page 200 pour se tourner autour pendant les 700 restantes ? C’est du sadisme pur et dur. J'ai pas eu le temps d'avoir l'impatience ou la tension entre les deux.
À part ce détail, ça se lit hyper bien. Le rythme est fluide, y’a toujours de l’action, des rebondissements, des secrets qui tombent, des pièces qui s’imbriquent. T’as jamais le temps de t’ennuyer. C’est tendu, prenant, vibrant. Tu tournes les pages en apnée.
Et puis Jacob. Mon chouchou. Mon soleil. Sa façon de tenter de calmer l'atmosphère en chantant m'a plié de rire ! Je pense que là-dessus on est tous d’accord, il mérite le monde.
La fin ? Une claque. Une vraie. Mais vu qu’il y a une suite… je sais que ce n’est pas la fin pour Iris et Kai. Et j’ai qu’une hâte, lire la suite. Je ne sais même pas si j'arriverai à ouvrir un livre avant d'avoir lu le prochain tome.
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